c'est un peu idiot, je sais pas pourquoi, tu m'as beaucoup troublé, vraiment c'est bizarre, je me suis trouvé hypnotisé, accaparé, très gêné surtout de rien pouvoir caché, et si pressé de te parler. en secret je voulais déjà t'embrasser. j'espère qu'un jour je pourrais te rencontrer
like a rainbow
riding your elbow
dancing 'till you allow
looking for it
don't worry I will follow
this is the beat
s'arrêter et laisser trembler. il me faut t'embrasser et te regarder, tu viens de t'effondrer, on va craquer je le sais, c'est ton reflet qui vient me titiller derrière ton bouquet aux milles effets celui que j'aimerai effleuré. nik. up side down.
it rains, please don't stop, let's go away, I'll not let you go away, unattainable, let those stains become the mains
it rains, there's no stop
ce jour de lune glisse sur le livre qui s'accomplie
ce jour de lune glisse sur le livre qui s'accomplie
C'est la déchéance, tu vois, ça se compare à la chance.
Tu sors tu souris tu ris, il y a machin qui te fait rire, machine qui te fait sourire. 
Tu pars tu reviens, toujours tu reviens enivré ou saoulé, qui sait ? 
De toutes façons c'est pareil, juste un mot pour en remplacer un autre.
L'eau coule dans le caniveau, une rigole c'est plus beau, on se sent vivant, on est mort, l'alcool c'est ce qui nous rend vivant, alcoolique c'est ce qu'on ressent. 
T'es vivante je suis ambiante, oui c'est ça, on donne le ton et c'est pas pour les thons. Bisous bourdou demain on sera mou ou on ne sera pas 
c'est des bisous tout doux sur ton cou ces mêmes kisu complètement fou à ne plus savoir où, et c'est toi et c'est moi au dessus en dessous posté là comme des clous fous roux on s'en fout mais en tout cas quelques bisous tout d'où doux partout
tonight you're not there and I'm here, you look at me, I feel it
I want to be in your dream, want you in my dream, becoming real
You're there and and I'm not here
Let's disappear
The sky is cracking
Derrière on s'accroche, ton ombre je décroche 
Il est temps de dormir, de mon corps te recouvrir
Il est temps de te sentir, une autre fois me découvrir 
Viens viens on va danser, 
Ta bouche embrassée, tes jambes virevolter
The sun is down we're going down, deep, far away, and disappear
on my way to delhi
thinking of maybe
meeting you at next crossing
missing you
kissing you at the last stop
feeling cold want to fly again on that cloud
listen to this music
you're there and I'm not here you're here and I'll be there
don't worry
don't worry
bientôt le printemps
hélicoptères volants
ici on disparaît
rutilant
les lumières cette nuit
rouge blanc
je te sens
bientôt le printemps
circulation alternée
tu t'en vas et je te rejoins
beiju baci kisu on prend cette rue
serré collé enlacé cadenassé enchevêtré
jamais oublier que cette nuit je te la volerai
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,
A voir Paris si beau dans cette fin d'automne,
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne,
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,
Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,
Ton image me hante, je te parle tout bas,
Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi

--barbara
tu fermes les yeux et je m'envole,
tu rigoles, on glisse on passe et on s'embrasse
un peu comme ces amoureux sur cette place
on s'enlace
il n'y a qu'une direction et dans tes yeux je perds la raison
il pleut nuage flamboyant souffle haletant
tu peux te reposer mon corps te couvrira sûrement
envie de t'embrasser
léger
t'embrasser partout
de frissonner sous tes baisers
te sentir respirer
m'endormir tout près
serrer
dans mes bras dans tes bras

il pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes même dans le souvenir
c'est vous aussi qu'il pleut merveilleuses rencontres de ma vie ô gouttelettes 
et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout un univers de villes auriculaires
écoute s'il pleut tandis que le regret et le dédain pleurent une ancienne musique
écoute tomber les liens qui te retiennent en haut et en bas

--apollinaire
tout se bouscule, marcher, courir, ralentir,
effréné, à bout de souffle, on continue, ne t'arrête plus
vite un verre avant que je tombe par terre
embrasse moi là, sous cet arbre que je tombe dans tes bras
mais que se passe-t-il, qui es tu et où m'emmènes-tu ?
tu entends ?
là juste au coin de la rue cette musique en murmure,
elle coule, circule, se glisse, entre enivrante
s'invite et se dissimule
continue, continue, encore ne t'arrête plus
on danse, on se bouscule, tu entres je te bouscule
ta main brûle. encore non tu recules
c'est la pause tu réévalues
je monte tu descends, tout ça devient indécent
ah oui c'est comme ça ? tu penses à quoi ?
oui c'est comme ça je ne pense qu'à tout ça
tu rentres tu sors, c'est tes lèvres que je vois.
tes lèvres




toi




                                                                                                erika
C'est sans arrêt.
Il y a ces moments où je souhaite t'embrasser
Ceux là même qui me font perdre pied
Tu es ma fête.
Quelques secondes graver dans ma tête
Si fort qu'il faut qu'elles se répètent
Ce matin, cette musique mélancolique berce mes mouvements, cette odeur, le souvenir de ta peau, ton dos à moi collé, ces nuits à s'enlacer, ces nuits à se serrer. Dors, demain je te réveillerais
où es-tu ?
sous des arcades ? http://www.youtube.com/watch?v=ini5wzL8wxI
dans un ascenseur ? http://www.youtube.com/watch?v=wjxef8AfVQg
ou as-tu complètement disparue ? http://www.youtube.com/watch?v=chE1_g3GAWw
moi je suis par là http://www.youtube.com/watch?v=RcWL1gSgISA
je me ballade dans mon mois de mars http://www.youtube.com/watch?v=hKrXfVRQSR8
et puis c'est déjà la nuit http://www.youtube.com/watch?v=_vx7StPEcOk
j'essaye des invocations obscures http://www.youtube.com/watch?v=klIcu7r46Ig

il est tard, je m'endors, tu es là et puis tu disparais, il y a tes lèvres qui me regardent sans arrêt. 

Imagine mes bras autour de toi serrés
Imagine mes lèvres sur les tiennes posées
Imagine une nuit contre toi te réchauffer
Et ton dos, tes bras, tes doigts, tout ce qui est toi tout ça encore une fois
On s'enlace et on s'embrasse
Derrière les rideaux tout s'effacent
Tes seins, ton souffle, tes lèvres
Du vin, j'ai la fièvre
Des bulles et tout s'embrasent
Encore. Laisse moi finir la phrase
Erika
Aujourd'hui, demain, après demain, me laisser aller, te voir, te sentir, t'écouter, chanter et danser, tu es ma fête et c'est sans arrêt
peut être que je t'effleurerais assez pour que tu ne sentes que ça,
peut être à fleur de peau,
qu'ensuite une simple caresse paresse d'une extrême fougue.
une savante improvisation entre fougue et ralenti,
force et douceur, d'un extrême à l'autre, des virages à 180 degrés,
du noir et beaucoup de lumière,
une course folle sans but que te sentir un peu plus
encore un peu plus.
peut être aussi que faire l'amour sera trop juste, pas assez, fade,
et que ce sera surtout beaucoup plus
des frissons plein le corps
je t'observe sur moi
aller et venir, t'abandonner
dans la rue les lumières s'éteignent et laisse le soleil nous éclairer
ton regard brille
on entend les oiseaux chanter des morceaux qu'eux seuls connaissent
il fait froid et pourtant j'ai chaud
je suis nu et tu m'habilles
Leurs cœurs, immergés dans leurs pensées, égrènent lentement le temps.
Last night I dreamed that I was dreaming of you
And from a window across the lawn I watched you undress
Wearing your sunset of purple tightly woven around your hair
That rose in strangled ebony curls
Moving in a yellow bedroom light
The air is wet with sound
The faraway yelping of a wounded dog
And the ground is drinking a slow faucet leak
Your house is so soft and fading as it soaks the black summer heat
A light goes on and the door opens
And a yellow cat runs out on the stream of hall light and into the yard

A wooden cherry scent is faintly breathing the air
I hear your champagne laugh
You wear two lavender orchids
One in your hair and one on your hip
A string of yellow carnival lights comes on with the dusk
Circling the lake with a slowly dipping halo
And I hear a banjo tango

And you dance into the shadow of a black poplar tree
And I watched you as you disappeared
I watched you as you disappeared
I watched you as you disappeared
I watched you as you disappeared
du bleu, du blues, du noir, du gris,
je vous en prie mademoiselle
venez déposer sur mes lèvres un si
faites moi tourner jusqu'au ciel.
une nuit, juste une pour me conquérir,
une vie, juste une pour frémir.
i'm romeo and tom can wait
je dérive dans les eaux profondes
seul avec moi même doutant de nouveau
j'essaie de ne pas lutter cette fois
car je serais la tempête
je dois me souvenir
ne pas combattre
même si je n'aiment pas ça
d'une manière ou d'une autre me retourner
peu importe à quel point je dérive
les eaux profondes ne m'effraieront pas ce soir
je n'arrive plus à pleurer
les larmes montent et les émotions disparaissent
je n'arrive plus à écrire
ce ciel noir de ma détresse
j'ai arrêter de sentir
aiuto
je n'en peux plus, sortez moi de là
je veux un autre aperol spritz avec toi à venise
t'embrasser dans les rues de florence ou de pise
t'emmener danser à new york milan ou paris
t'effleurer à douai dunkerque et lecce
te sentir après que tu aies dansé
te murmurer je t'aime dans le creux de l'oreille
et te faire voire café müller à tokyo
chante encore pour moi
dance dance otherwise we are lost
tu es tout ça pour moi, rires, frissons, larmes
je viens de voir Pina, j'ai pleuré, ri, souri et frissonné
je t'ai vu, j'étais à coté de toi
ressens encore. vis de nouveau. my one and only love.
i'll look for you
under this tree where you fall asleep
following the sign you left on my body
looking for your heart shining my dark
under this tree you'll wait for me
and love love
the sky is cracking
flying zeppelin
don't disappear from me
and love love
in the city I'm blind, where are you?
what am I suppose to do?
maybe I should wait and wait for you
this wine is sweet
and spring makes me think about you
this moon above my head, those lights around my legs
I am alone full of you

Pop Song

The distance of seas and streets
between you and me now,
maybe there's sunshine on my wall,
doesn't matter anyhow.

Strays cat call, neighbours talk,
car go honking down;
I should have met you when I was 17,
we'd go walking in the streets of my town.

Tuesday or Thursday, it's just the same,
the light changes at something to five;
all I want to see is your name somewhere,
the colour of your grey, grey eyes.

If you were here we'd make dinner plans,
drink vermouth, you'd stroke my hair;
the evening would just melt away
and in the morning you'd still be there.

- Anjum Hasan
du coin de l'oeil, de ton sourire à peine dissimulé
tu évites mon regards, d'un air forcé.
je te regardes et tu m'habites le temps d'un weekend
viens mon amour, viens quelques instants auprès de moi
je veux sentir ta peau, ton parfum se répandre sur moi
non ne me regarde pas, ne me souris pas
je ne t'aime pas et tu m'oublieras
un instant, court et sans fin
tu n'es plus là et je te vois

dans mes bras
j'en peux plus, je frisonne de partout, la tête est partie, ne reste que passion, presque folie, un baiser, un regard, un autre baiser encoure plus enflammé, tu me regardes, je te touches, tu me regardes, je te caresses, tu me regardes, je succombe, tu me regardes, arrête je deviens fou, tu me regardes, encore continue, tu me regardes et je te bouscule, tu me regardes et on s'enlace, tu me regardes et on s'embrasse, on se regarde et tu m'embrasses, je te regarde
et lentement, imperceptiblement tu viens, te blottis là, doucement, dans mes bras,
tu t'arrêtes
je ne bouge plus
tu n'es plus là
partie avec moi
C'est exactement ce que tu as voulu dire.
Et je m'en fiche,
Moi je te pardonne tout et j'oublis tout.
Retourne avec l'amour de ta vie, laisse moi tranquille.
Il viendra te voir dans toutes les villes où tu danses,
il t'enverra des fleurs et fera des vidéos pour te dire qu'il t'aime
et toi tu lui diras qu'il est une merde
et après t'iras pleurer avec tes amis qui te dirons de le quitter parce qu'ils auront tout compris,
parce que eux aussi ils vivent des histoires passionnées,
tous les jours même,
alors arrête de faire la sainte,
arrête,
et retourne avec l'amour de ta vie
qui t'as préparé le petit déjeuner ce matin,
il est allé chercher les croissants dans la meilleure boulangerie
et quand il te regarde dans les yeux tu sais qu'il t'aime
et que ce sera pour toujours.



Des baisers si doux qu'ils en deviennent imperceptibles;
Viennent sur ta peau s'échouer,
Vivre leurs derniers instants avant de disparaitre
De s'effacer en laissant cette trace que seule toi peux reconnaitre;
Viennent sur ma peau vibrer
Me rappeler qu'ils sont tous tiens.
Mon amour vient,
Mon aimée, je disparais
Embrasse moi
Encore
Encore



mais en fait je veux pas t'éblouir, ni te rendre aveugle
simplement te sentir et te regarder
naïvement apprendre à te rencontrer
avec mes pensées avec ton corps enflammée
te respirer
d'un moment, un instant infime, le cœur lourd, je m'en vais, je pars et m'éteins
comme vous me manquez, vous madame, toi mademoiselle
quand retrouverais-je ce bonheur ?
pourtant je ne suis pas seul, alors pourquoi ?




C'est ici dans cette nuit remplie de cette rumeur sans bruit
Que je m'arrête.
Vous êtes là tapi dans mon esprit prêtes à surgir
Me faire devenir fou, me laisser envahir
De vos parfums pour toujours me souvenir
Chaque morceau chaque grain de ma peau
Je m'arrête à nouveau.
Ri, pleure, souri, effleure encore encore encore
fatigué je m'assoupis, mes yeux se ferment et tu apparais.
tu me hantes. sort de mes pensées ! laisse moi me reposer.
laisses moi quelques minutes de répit.
demain tu seras là,
te regarder sera mon seul répit.
tu es encore là.
arrête, pars, laisse moi, laisse moi,
viens, s'il te plait calme mon esprit.
mes yeux se ferment à nouveau, je m'assoupis,
tu es encore là, reste avec moi encore une nuit.
viens on va danser la guiguendelire au pays des merveilles
et d'un sourire un souvenir s'emparer
je disparais petit à petit,
je pars d'ici
tu entends ma voix prononcer ces mots
j'oublis qui je suis
tu n'est plus là, tu voles sur les flots
je suis ici, j'ai disparu, je suis là bas
où tu es, tu es avec moi,
j'entends ta voix, le monde tourne tourne
où je suis, tu es avec moi. je ne suis pas là, j'ai disparu, ça n'arrive pas.
la lumière des écrans, la tempête et le ciel en feu,
je suis là, avec toi.
quand tu n'es pas là je suis encore plus jaloux,
jaloux de ceux que tu regarde, de ceux qui te regarde,
jaloux des personnes qui te parlent, des personnes a qui tu parles,
je suis jaloux des gens avec qui tu mange, avec qui tu ris, avec qui tu travail,
jaloux de tous les hommes que tu croises,
jaloux de ton lit, jaloux de ta chambre et de la salle de bain,
jaloux de cet ami qui te fais rire, a qui tu parle, que tu regarde, que tu touche
je veux dormir a côté de toi, sentir ton regard sur moi, partager ma vie avec toi .  .   .
tes mains
tes hanches
tes yeux
ta bouche
tes lèvres
tes fesses
tes genoux
tes pieds
tes doigts
tes jambes
tes coudes
tes oreilles
tes cheveux
ton nombril
tes joues
ta langue
ton sourire
tes sourcils
tes cils
ton dos
tes épaules
tes chevilles
tes orteils
ta peau
les creux de tes mains
tes bras
tes poignets
tes seins
tes abdominaux
ton ventre
tes muscles
ton front
tes dessous de pied
tes cuisses
tes avant bras
et aussi...
je vais partir du travail, je pense à toi.
j'écoute de la musique, qu'est ce que tu aime ?
je prends le vélo et roule, on roule ensemble ?
j'arrive à la maison, tu me manques...

je pars voir un film au cinéma, tu viens avec moi ?
je vais manger un peu, je fais aussi à manger pour toi.

on partage nos vies encore un peu ? beaucoup ?
tu ne me manques pas,
je ne pense pas tout le temps à toi,
je ne parle pas de toi à tout le monde,
je ne t'écris pas d'email,
je ne t'envoie pas de message d'amour,
je ne t'appelle pas juste pour entendre ta voix.


et je ne t'aime pas.

Je t'offre un macaron.
on se promène en vélo.
on va à république, manger des hamburgers, s'embrasser, parler, se regarder dans les yeux, se perdre et puis tu prends des profiteroles et on fini la nuit enlacé les yeux dans les yeux.